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Le site d'information du CHB (Cercle Historique Blanquefortais)

当另类邂逅尊贵

 Localisation des 40 artisans et des 40 commerçants travaillant entre 1939 et 1945 


Suivons notre guide Yannick Barreau.

Au cœur du village :

- Au 13 de la rue Eugène Tartas, était installé un cordonnier-sabotier, M. Bouthonnier.
- Au 7 rue Eugène Tartas, le salon de coiffure pour dames « chez René » tenu par M. Gagnerot.
- Au 5 de la rue Eugène Tartas, se trouvait une pâtisserie tenue par Mimi Lacaze dite « Mimi Capitaine » ; elle y vendait des gâteaux le samedi et le dimanche.
- Au 1 de la rue Eugène Tartas, se trouvait l’épicerie « Chez Bayard » tenue par M. et Mme Bidou.
- Au 1 de la rue Gambetta, se tenait « Guiguitte » la repasseuse qui était également déléguée des Pompes Funèbres pour les décès intervenant sur Blanquefort.
- Au 2 de la rue Gambetta, une boucherie-charcuterie-alimentation tenue par M. Jouhanny dit « Le Chioulet ».
- Au 8 de la rue Gambetta, la mécanicienne Mme Gracieuse Seguin vendait et réparait des bicyclettes.
- Au 10 de la rue Gambetta, était installé un bourrelier, M. Barrière René.
- Au 15 de la rue Gambetta, une épicerie tenue par Mme Dupouy et dans l’impasse qui faisait l’angle, M. Dupouy, son mari, était « marchand de Vins ».
- Au 30 de la rue Gambetta, se trouvait l’électricien, M. André Dumora et sa mère Mme Marguerite Dumora, sage-femme.
- Au 2 de la rue Tastet Girard, la boucherie « Chez Racary » tenue par M.et Mme Roger Racary.
- Au 5 de la rue Tastet Girard, « l’Hôtel des Voyageurs » tenu par Mme Badetz.
- Au 7 de la rue Tastet Girard, la menuiserie de M. Jean Guillouset.
- Au 9 de la rue Tastet Girard, était implantée une pharmacie tenue par M.et Mme Meynard, pharmaciens.
- Au 10 rue Tastet Girard, se trouvait un salon de coiffure tenu en premier lieu par M. Romefort, coiffeur très renommé et ensuite par M. Larregneste, qui a été fait prisonnier durant la guerre.
- Au 17 rue Tastet Girard, se trouvait la quincaillerie Courbère, M. Courbère était plombier-zingueur, il paraissait également très spécialisé dans le « nettoyage des puits ».
- Au 25 de la rue Tastet Girard, un marchand de journaux, « la boutique », était tenue de 1931 à 1941 par Mme Bouc, puis à partir de fin 1941 par M. Gros.
- Au 27 de la rue Tastet Girard, la bonneterie-mercerie de M. François Dussouchaud.
- Au 33 de la rue Tastet Girard, une alimentation « À l’Aquitaine » tenue par M. Germond.
- Au 42 de la rue Tastet Girard, la boulangerie Destiq tenue par M. Jean Destiq et Mme Cécile Destiq, qui, elle, portait dans une très belle charrette, le pain dans les lieux un peu éloignés de la commune.

Place de l’Église :

(appelée avant la guerre place de l’Église, durant la guerre place du Maréchal Pétain, débaptisée après la guerre pour redevenir place de l’Église)
- Au 6 place de l’Église, la pharmacie Pain, c’est la plus ancienne pharmacie de Blanquefort.
- Au 5 place de l’Église, la mercerie des demoiselles Minjon.
- Au 4 place de l’Église, le café-bar dénommé « Chez Dabadie », car M. Dabadie avait très longtemps tenu ce café, il était propriétaire des murs, mais durant la guerre c’est M. Poitreau Louis qui en était le gérant.
- Au 3 place de l’Église, le hall du marché où sévissait la très connue « Marie la Marchande » accompagnée de sa fille « Fafa », elles vendaient du poisson et des moules. Elle se déplaçait en charrette avec son âne.
- Au 6 rue de la République, se trouvait une quincaillerie dénommée « chez Boissarie » durant la guerre, le gérant de ce magasin était M. Prioville Romain (nous dirons beaucoup plus tard, on va chez « Ariola »).
- Au 10 rue de la République, le peintre artisan M. Clovis Juliot.
- Au 15 rue de la République, la boulangerie de M. Biot appelée La « Boulangerie  Biot ».
- Au 17 rue de la République, le cordonnier M. Lanaspèze qu’on appelait aisément « Monsieur Pépèze ».
- Au 22 rue de la République, l’épicerie « Chez Fays » où l’on pouvait trouver de l’épicerie, des bonbons, des tissus, des boutons et de la mercerie en tout genre.

Route du Médoc :

- À l’angle de la route du Médoc et de l’avenue du 8 Mai, se trouvait le garage de M. Pain Valérie, mécanicien.
- Au 8 route du Médoc, se trouvait M. Richer, bourrelier-tapissier.
- Au 10 A route du Médoc et au 2 rue Jules Ferry, le maréchal-ferrant M. Jean Dedieu.
- Au 4 et 6 rue Jules Ferry, M. Gérard Bacquey, charron.
- Au 16 route du Médoc, l’entrepôt du charbonnier M. Abel Robert.
- Au 7 route du Médoc, l’atelier de serrurerie de M. Raymond Valet.
- Au 22 route du Médoc, un peintre M. Garcia Louis.
- Au 32 route du Médoc se trouvait un charpentier M. Ornon Henri.
- Au 34 route du Médoc, le plombier zingueur Edouard Pont.
- Au 25 route du Médoc, la graineterie faisant également office d’épicerie « Chez Hubert ».
- Au 44 route du Médoc, le débit de Tabacs « Chez Gégé » tenu par Mme Berthe Coquelin.
- À l’angle de chez Gégé, sur le boulevard Alcide Lançon au n° 5, l’horloger Léopold Jean dit « Jean-Jean ».
- Sur la rue allant à la Gare (2 rue Jean-Moulin), le forgeron M. Matheau.
- À l’angle de cette rue, ouvrant sur la route du Médoc, le restaurant de Mme Juge.
- Au 31 route du Médoc, on amenait ferrer les chevaux et réparer les charrettes chez M. Joseph Bret, forgeron et son fils Jean Bret, charron.
- Au 39 route du Médoc, la marchande de bonbons Mme Suire.

Implantés dans d’autres quartiers de la commune :

- Au 5 rue des Acacias, (à proximité du cimetière) l’atelier de M. Gaillard Firmin, maçon (grand père d’Alain et Yves Pineau, chargés du cimetière).
- Au 19 rue Alcide Lambert, un autre peintre, M. Pineau Gabriel.
- Au 8 de la rue du Repos, l’atelier et l’entreprise de maçonnerie de M. Léopold Carme.

À Maurian :

- Au 37 rue de Maurian, l’épicerie tenue par Mme Dejean Anne.
- Au 8 de la rue de Peybois, un maçon M. Jacques Comtat.
- Au 2 rue de Peybois et au 1 rue de Tanaïs, une entreprise de fabrique de colle détenue par M. Tallet, fabricant de colle.
- Au 18 rue Edmond Blanc, une boulangerie-pâtisserie exploitée par M. Camille Miquau, boulanger
- Au 16 rue Edmond Blanc, un salon de coiffure pour hommes tenue par M. Balducci Ernest.
- Au 207 route du Médoc, un charron, M. Priour Louis.
- Au 225 route du Médoc, un atelier de bourrelier et sellerie, atelier tenu par les 2 frères Rivière René et Jean.
- Au 237 route du Médoc, l’atelier du forgeron M. Paillasse François.
- Au 216 route du Médoc, la pharmacie Latches Comp.
- Au 220 route du Médoc, un café et une boucherie tenus par M. Henri Jean Martin.
- Au 226 route du Médoc se tenait un marchand réparateur de cycles ; ce commerçant a été bien recensé dans les commerces de l’époque, mais ne devait pas être ouvert durant la guerre, M. Maleyran, le propriétaire exploitant ayant été fait prisonnier.
- Au 228 route du Médoc, un café et une épicerie tenus par M. Romeo Jacques et Mme Angèle Romeo.
- Au 232 route du Médoc et au 1 rue Mathurin Olivier, un charpentier M. Gravier Fernand. Il avait été « Compagnon du Tour de France » (important à préciser, car à cette époque les Compagnons du Tour de France se déplaçaient à pied de ville en ville).
- Au 234 route du Médoc, une boulangerie, le boulanger en étant M. Berlan Maxime.
- Au 238 route du Médoc, un café « Le Bar les Tilleuls » tenu par M. Georges Cels.
- Au 244 route du Médoc, une petite épicerie-mercerie tenue par Mme Paillasse.
- Au 11 rue Mathurin Olivier, une épicerie tenue par M. Paul Olivie.
- Au 9 rue Rincazaux , un coiffeur-sabotier M. Leydet, il exploitait ses activités dans un bâtiment en bois face à chez lui (ce bâtiment n’existe plus).

Quartier du Neurin et quartier de Peybois 

- Au 295 route du Médoc, un artisan-couvreur M. Albéric Lagrange.
- Au 297 route du Médoc, l’entreprise de maçonnerie de M. Bos Pierre Louis.
- Au 302 route du Médoc et rue Jean Mermoz, l’une des scieries tenue par M. Gérard Jacquin.
- Au 308 route du Médoc et au 1-3 rue de la Forge, l’autre scierie tenue par M. Robert Jacquin.
- Au 57 rue de Peybois, une épicerie tenue par Mme Reine Filatreau.
- Au 12 rue du Poujeau, la forge de M. Mathurin Olivier.
- Au 120 rue de la Rivière, un bar-épicerie tenu par M. Noaillac Jean.
- Au 124 rue de la Rivière, un artisan charpentier M. Fort Robert.
- Au 101 rue de Linas, une épicerie tenue par Mme Alice Chauvin.