Portes du Médoc
  • Accueil
  • Les Communes
    • Canton
      • HistoireCanton
      • Géo PhysiqueCanton
      • Géo HumaineCanton
      • PopulationCanton
      • PatrimoineCanton
      • GénéalogieCanton
      • Documentation Canton
    • Blanquefort
      • HistoireBlanquefort
      • Géo-PhysiqueBlanquefort
      • Géo-HumaineBlanquefort
      • PopulationBlanquefort
      • PatrimoineBlanquefort
      • GénéalogieBlanquefort
      • DocumentationBlanquefort
    • Bruges
      • HistoireBruges
      • Géo-PhysiqueBruges
      • Géo-HumaineBruges
      • PopulationBruges
      • PatrimoineBruges
      • GénéalogieBruges
      • Documentation Bruges
    • Eysines
      • HistoireEysines
      • Géo-PhysiqueEysines
      • Géo-HumaineEysines
      • PopulationEysines
      • PatrimoineEysines
      • GénéalogieEysines
      • Documentation Eysines
    • Le Haillan
      • HistoireLe Haillan
      • Géo-PhysiqueLe Haillan
      • Géo-HumaineLe Haillan
      • PopulationLe Haillan
      • PatrimoineLe Haillan
      • GénéalogieLe haillan
      • Documentation Le Haillan
    • Le Pian
      • HistoireLe Pian
      • Géo HumaineLe Pian
      • Géo PhysiqueLe Pian
      • PopulationLe Pian
      • PatrimoineLe Pian
      • GénéalogieLe Pian
      • DocumentationLe Pian
    • Le Taillan Medoc
      • HistoireLe Taillan
      • Géo-HumaineLe Taillan
      • Géo-PhysiqueLe Taillan
      • PopulationLe Taillan
      • PatrimoineLe Taillan
      • GénéalogieLe Taillan
      • Documentation Le Taillan
    • Ludon Médoc
      • HistoireLudon
      • Géo-HumaineLudon
      • Géo-PhysiqueLudon
      • PatrimoineLudon
      • PopulationLudon
      • GénéalogieLudon
      • DocumentationLudon
    • Macau
      • HistoireMacau
      • Géo-PhysiqueMacau
      • Géo-HumaineMacau
      • PatrimoineMacau
      • PopulationMacau
      • GénéalogieMacau
      • Documentation Macau
    • Parempuyre
      • HistoireParempuyre
      • Géo-HumaineParempuyre
      • Géo-PhysiqueParempuyre
      • PopulationParempuyre
      • PatrimoineParempuyre
      • GénéalogieParempuyre
      • Documentation Parempuyre
    • Saint Aubin de Médoc
      • HistoireSaint Aubin
      • Géo PhysiqueSaint Aubin
      • Géo HumaineSaint Aubin
      • PopulationSaint Aubin
      • PatrimoineSaint Aubin
      • GénéalogieSaint Aubin
      • DocumentationSaint Aubin
    • Saint Médard en Jalles
      • HistoireSaint Médard
      • Géo-PhysiqueSaint Médard
      • Géo-HumaineSaint Médard
      • PopulationSaint Médard
      • PatrimoineSaint Médard
      • GénéalogieSaint Médard
      • Documentation Saint Médard
  • A propos
  • Nos Actualités
  • Nous contacter
  • Accueil
  • Les Communes
    • Canton
      • Histoire
        Canton
      • Géo Physique
        Canton
      • Géo Humaine
        Canton
      • Population
        Canton
      • Patrimoine
        Canton
      • Généalogie
        Canton
      • Documentation
        Canton
    • Blanquefort
      • Histoire
        Blanquefort
      • Géo-Physique
        Blanquefort
      • Géo-Humaine
        Blanquefort
      • Population
        Blanquefort
      • Patrimoine
        Blanquefort
      • Généalogie
        Blanquefort
      • Documentation
        Blanquefort
    • Bruges
      • Histoire
        Bruges
      • Géo-Physique
        Bruges
      • Géo-Humaine
        Bruges
      • Population
        Bruges
      • Patrimoine
        Bruges
      • Généalogie
        Bruges
      • Documentation
        Bruges
    • Eysines
      • Histoire
        Eysines
      • Géo-Physique
        Eysines
      • Géo-Humaine
        Eysines
      • Population
        Eysines
      • Patrimoine
        Eysines
      • Généalogie
        Eysines
      • Documentation
        Eysines
    • Le Haillan
      • Histoire
        Le Haillan
      • Géo-Physique
        Le Haillan
      • Géo-Humaine
        Le Haillan
      • Population
        Le Haillan
      • Patrimoine
        Le Haillan
      • Généalogie
        Le haillan
      • Documentation
        Le Haillan
    • Le Pian
      • Histoire
        Le Pian
      • Géo Humaine
        Le Pian
      • Géo Physique
        Le Pian
      • Population
        Le Pian
      • Patrimoine
        Le Pian
      • Généalogie
        Le Pian
      • Documentation
        Le Pian
    • Le Taillan Medoc
      • Histoire
        Le Taillan
      • Géo-Humaine
        Le Taillan
      • Géo-Physique
        Le Taillan
      • Population
        Le Taillan
      • Patrimoine
        Le Taillan
      • Généalogie
        Le Taillan
      • Documentation
        Le Taillan
    • Ludon Médoc
      • Histoire
        Ludon
      • Géo-Humaine
        Ludon
      • Géo-Physique
        Ludon
      • Patrimoine
        Ludon
      • Population
        Ludon
      • Généalogie
        Ludon
      • Documentation
        Ludon
    • Macau
      • Histoire
        Macau
      • Géo-Physique
        Macau
      • Géo-Humaine
        Macau
      • Patrimoine
        Macau
      • Population
        Macau
      • Généalogie
        Macau
      • Documentation
        Macau
    • Parempuyre
      • Histoire
        Parempuyre
      • Géo-Humaine
        Parempuyre
      • Géo-Physique
        Parempuyre
      • Population
        Parempuyre
      • Patrimoine
        Parempuyre
      • Généalogie
        Parempuyre
      • Documentation
        Parempuyre
    • Saint Aubin de Médoc
      • Histoire
        Saint Aubin
      • Géo Physique
        Saint Aubin
      • Géo Humaine
        Saint Aubin
      • Population
        Saint Aubin
      • Patrimoine
        Saint Aubin
      • Généalogie
        Saint Aubin
      • Documentation
        Saint Aubin
    • Saint Médard en Jalles
      • Histoire
        Saint Médard
      • Géo-Physique
        Saint Médard
      • Géo-Humaine
        Saint Médard
      • Population
        Saint Médard
      • Patrimoine
        Saint Médard
      • Généalogie
        Saint Médard
      • Documentation
        Saint Médard
  • A propos
  • Nos Actualités
  • Nous contacter
  • Vous êtes ici :  
  • Accueil
  • Les Communes
  • Le Taillan Medoc
  • Histoire
  • Histoire Contemporaine

Histoire Contemporaine

De la Révolution au 19e siècle.

Louis XVI, monté sur le trône à l'âge de vingt ans (l774), manifeste ses bonnes intentions avec les tentatives de réformes entreprises par Turgot et Necker. Il cède ainsi aux sentiments de son cœur, mais son esprit étroit le ramène bientôt aux conseils des courtisans égoïstes qui jugent leurs privilèges en péril. Son indécision augmente le trouble et précipite les événements. Devant la situation, Necker demande au roi de convoquer les États généraux qui ne l'avaient pas été depuis 1614. D'un bout à l'autre de la France, dans les villes comme dans les villages, ce fut de février à avril 1789 une immense agitation.

Dans les cahiers de doléances qui étaient préparés, les questions de principes dominent les questions d'intérêts particuliers. Ainsi, le peuple demande : le vote par tête, l'égalité complète des citoyens devant la loi et devant l'impôt, l'abolition des droits d'aînesse, des servitudes féodales, la réforme des codes, la liberté de conscience, la liberté du commerce et de l'industrie. Réunis le 5 mai 1789, les trois ordres, noblesse, clergé, tiers états, fusionnent après de longues et acharnées discussions en une Assemblée nationale constituante, le 9 juillet 1789. La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, assure la victoire du peuple, entraîne l'organisation d'une mairie à Paris, la création de la Garde nationale et l'adoption de la cocarde tricolore. Les troubles dans les provinces déterminent l'Assemblée à supprimer les droits féodaux, dans la mémorable séance de la nuit du 4 août 1789.

La France est réorganisée socialement, politiquement et économiquement. Le 14 décembre 1789, l'Assemblée nationale constituante instaure les municipalités et décrète que « le chef de tout corps municipal portera le nom de Maire ». La simple paroisse du Taillan dépendant de l'Archiprêtré de Moulis devient une commune.

En 1790, les maires et officiers municipaux sont mis en place dans chaque commune de France.

En l'An II, le citoyen Guillaume Seguin est maire du Taillan. Le département de la Gironde est créé comprenant sept districts et soixante-douze cantons. Le Taillan est inclus dans le canton de Blanquefort ainsi que Saint-Médard-en-Jalles, Eysines, Saint-Aubin, Parempuyre, Bruges et Le Bouscat. Avec la création des cantons, une administration municipale cantonale est instituée, le maire du chef-lieu de canton en est le président. Pour le canton de Blanquefort, le maire Saincric, curé constitutionnel de la paroisse de Blanquefort préside l'assemblée cantonale. Chaque commune du canton, est représentée par un agent municipal et son adjoint. Cette administration municipale cantonale se substitue dans beaucoup de domaines à la gestion communale. La lecture des comptes rendus de cette assemblée permet de connaître ses compétences : le président lit à chaque séance les derniers bulletins des lois, les lettres et directives du gouvernement et du directoire de la Gironde, les pétitions présentées par les citoyens des communes du canton, sur lesquelles il faut délibérer pour prendre les décisions. L'assemblée traite de police générale : signalement des individus suspects, des évadés, des émigrés revenus, des proscrits. Il y est surtout question de finances, des contributions que doivent les communes ou des impôts et taxes dus par les particuliers. L'assemblée a également à traiter des domaines nationaux, des travaux publics, de la conscription des citoyens. Elle a la charge d'organiser les fêtes républicaines instituées par un décret du 9 septembre 1794, qui doivent remplacer les fêtes religieuses.

Ainsi, l'agent municipal du Taillan est chargé d'organiser le 30 ventôse an VI, la fête de la souveraineté du peuple. Le compte-rendu écrit sur le déroulement de cette fête mentionne : « En tête du cortège marchaient deux jeunes gens, l'un tenant une pique, l'autre le drapeau tricolore. Venaient ensuite douze vieillards ayant à la main chacun une baguette blanche. L'adjoint et l'agent (municipal) suivaient et après eux les défenseurs de la patrie en armes et le peuple. Arrivé au lieu désigné, sous un arbre de la liberté, on a chanté un hymne patriotique. Le drapeau tricolore, la pique, le bonnet de la liberté et la constitution de l'an fil ont été mis autour de l'arbre de la liberté. Ayant reçu la loi la veille de la cérémonie, on n'avait pas eu le temps de dresser un autel. Les vieillards se rangent en demi-cercle devant l'arbre de la liberté et immédiatement après eux l'agent et l'adjoint municipaux, n'y ayant point d'autre fonctionnaire public. On chante un air patriotique. Les vieillards s'avancent au milieu de l'enceinte, réunissant leurs baguettes, ils enforment un faisceau qu'ils lient avec un ruban tricolore. Un des vieillards dit à haute voix les phrases suivantes : la souveraineté du peuple est inaliénable ! Comme il ne peut exercer par lui-même tous les droits qu'elle lui donne, il délègue une partie de sa puissance à des représentants et à des magistrats choisis par lui-même ou par des électeurs qu'il a nommés. C'est pour se pénétrer de l'importance de ces choix que le peuple se rassemble aujourd'hui.

L'agent municipal répond par ces mots : le peuple a su par son courage reconquérir ses droits trop longtemps méconnus, il saura les conserver par l'usage qu'il en fera. Il se souviendra de ce précepte qu'il a lui-même consacré par la charte constitutionnelle, que c'est de la sagesse des choix dans les assemblées primaires et électorales que dépendent principalement la durée, la conservation et la prospérité de la république. L'adjoint municipal a fait lecture solennelle de la proclamation du directoire exécutif relative aux élections du 28 pluviôse an VI. La cérémonie a été terminée par des chants patriotiques. Le cortège est obligé de se dissoudre à cause de la pluie et de la grêle ».

Dans cette période trouble, le besoin d'assurer le maintien de l'ordre et d'empêcher les pillages conduit à la mise en place d'une Garde nationale placée sous le contrôle des municipalités. C'est une loi du 14 octobre 1791 portant organisation de la Garde nationale qui rend obligatoire pour tous les citoyens actifs et leurs enfants âgés de dix-huit ans d'en faire partie. Le citoyen actif est défini comme celui payant au moins trois livres d'impôts, ce qui limite le nombre de participants notamment en zone rurale.

Pour Paris, La Fayette en sera le premier commandant en chef et le duc de Duras son homologue à Bordeaux. Au Taillan, est ainsi constituée une unité s'intégrant au « bataillon cantonal » de Blanquefort. Au sein de la Garde nationale, est formée, à la demande du ministre de la police, une colonne mobile chargée d'assurer la sûreté publique. Le canton fournit trois compagnies le 2 nivôse an V, composées de : cinquante hommes de Blanquefort, vingt-neuf du Taillan, vingt-quatre de Parempuyre, cinquante de Saint-Médard, cinquante d'Eysines, quinze de Saint-Aubin, trente du Bouscat et trente de Bruges.

Parmi les citoyens du Taillan, on trouve : Louis Videau sergent, François Labeyrie caporal, Valentin Lavigne, Yves Decourt, Charles Dupuy et Vital Jeantet fusiliers. Julien de Bryas du Taillan sera élu chef du bataillon cantonal en mai 1848. Cette institution durera jusqu'en 1871 avec une mise en sommeil sous le Consulat et l'Empire. Après leur confiscation, les biens des ordres ecclésiastiques et des nobles émigrés sont mis en possession de l'Etat et transférés aux communes. Ceux qui ne peuvent être attribués à un service public sont vendus aux particuliers. Une commission cantonale est chargée d'en faire l'inventaire. Au Taillan, Charles de Lavie est considéré en fuite et doit obtenir un certificat de résidence justifiant de sa présence. C'est son fils Arnaud qui intervient auprès de certains habitants de Blanquefort pour les faire attester, auprès des officiers municipaux, qu'il réside bien en permanence au Taillan et qu'il est un bon citoyen. Le certificat est établi le 15 vendémiaire an VI.

À l'Assemblée nationale constituante, succède le 1er octobre 1791, en vertu de la constitution de 1791, l'Assemblée législative qui se montre hostile à la royauté. Cette assemblée voit la naissance d'un grand parti appelé « la Gironde », parce qu'il a pour chefs des députés girondins, tel que Vergniaud, Guadet, Gensonné, Isnard, Brissot, Barbaron, Petion, Valazé.

Le 10 août 1792, l'Assemblée, auprès de laquelle Louis XVI s'est réfugié suite aux accusations de traître à la nation, convoque la Convention. Le 21 septembre 1792, celle-ci ouvre ses séances. C'est une assemblée souveraine divisée en deux partis. Il y a d'un côté les « Girondins » classés comme modérés, de l'autre les « Montagnards » qualifiés d'exaltés. La mort de Louis XVI, le 21 janvier 1793, détermine la formation d'une première coalition des puissances européennes contre la France. En même temps, la guerre civile éclate dans le pays. Les passions étant de plus en plus excitées, les modérés Girondins sont accusés de traîtres à la Patrie, proscrits et arrêtés. Pour faire face à cette situation la Convention recourt aux mesures extrêmes et règne par la terreur. Le département de la Gironde et Bordeaux en particulier s'insurgent contre la Convention. Par sanction contre les Girondins, la convention remplace le nom du département de Gironde par celui du Bec d'Ambès. Il faudra attendre la loi du 25 germinal an III, pour que le département retrouve son nom d'origine. Afin d'y rétablir l'ordre, des commissaires sont envoyés à Bordeaux et un tribunal révolutionnaire qui prend le nom de Commission militaire, est mis en place, avec pour président un nommé Lacombe, instituteur toulousain, qui est un véritable criminel. On peut lire sur des comptes rendus de l'époque, concernant Lacombe : « La Commission militaire devint un véritable tribunal de rapine et de sang. Il vendit la justice, il accumula les trésors par d'abominables extorsions, il mit à prix la vie et la mort des citoyens. Il était à la fois l'accusateur, le rapporteur du procès et le juge et souvent la partie de celui qu'il condamnait. Inutilement, l'accusé voulait prouver son innocence, il était contraint de garder le silence. « Le tribunal est fixé sur ton compte », lui disait le juge féroce. Et il envoyait froidement sa victime à la mort ».

De riches propriétaires du Taillan passent entre ses mains : Arnaud de Lavie, arrêté le 17 septembre 1793, est acquitté le 14 mars 1794. Le banquier Abraham Peixotto, arrêté dans la nuit du 29 au 30 novembre 1793, ne doit son salut que grâce au versement d'une amende de 1 200 000 livres. La terreur à Bordeaux se termine par l'exécution de celui qui a envoyé un grand nombre de Girondins à l'échafaud... le président Lacombe !

La guillotine dressée place Dauphine (actuellement place Gambetta) à Bordeaux, est démontée le 14 août 1794.

Le Taillan-Médoc, hier, aujourd’hui, Point Info du Taillan, 2 000, p.82-85.

Le blason du Taillan.blason

Le blason de la ville du Taillan-Médoc a été créé en 1996 par M. Pierre-Jean Rodriguez, peintre, à l'initiative de Mme Pauline Picot, maire-adjoint délégué à la culture.

De gueule, à la barre tiercé de sinople, d'or et de pourpre, accostée d'une porte d'argent à dextre et d'une plume d'oie sur un livre ouvert, au naturel, à senestre.

                                    Timbre de trois portes d'argent.

Champ, gueule de couleur magenta rouge, couleur de l'Aquitaine.blason1

La barre transversale supérieure, de couleur sinople (vert), symbolise la forêt.

La barre centrale, de couleur or riche, symbolise la route des vins.

La barre inférieure, de couleur violet, cobalt foncé, symbolise la vigne.

La porte, argent, symbolise la porte du Médoc.

Le livre ouvert et la plume d'oie, de couleur « naturel » symbolisent les écrivains célèbres qui ont vécu au Taillan, sans doute par référence à Étienne de La Boétie, décédé à Germignan sur la commune du Taillan-Médoc et l’arcade est un hommage au bâti communal.

L'ensemble est surmonté de trois portes argent, symbole de ville ouverte.

Le Taillan-Médoc, hier, aujourd’hui, Point Info du Taillan, 2 000, p. 4.

Filtres
Liste des articles dans la catégorie Histoire Contemporaine
Titre Auteur Clics
Le camp de Germignan Écrit par Portes du Medoc Clics : 559
Le monument aux Morts Écrit par Portes du Medoc Clics : 321
Les pertes nationales des guerres du 20ème siècle Écrit par Portes du Medoc Clics : 277
Le régiment patriotique Écrit par Portes du Medoc Clics : 366

INFORMATIONS

  • HistoireLe Taillan
    • Zones archéologiquesLe Taillan
    • PréhistoireLe Taillan
    • AntiquitéLe Taillan
    • Moyen-ÂgeLe Taillan
    • Histoire ModerneLe Taillan
    • Histoire ContemporaineLe Taillan
  • Géo-HumaineLe Taillan
    • ToponymieLe Taillan
    • VoirieLe Taillan
    • PeuplementLe Taillan
    • TransportsLe Taillan
    • EconomieLe Taillan
  • Géo-PhysiqueLe Taillan
    • Cartes et plansLe Taillan
    • Photos aeriennesLe Taillan
    • SolLe Taillan
    • EauLe Taillan
    • ClimatLe Taillan
  • PopulationLe Taillan
    • démographieLe Taillan
    • Vie politique et socialeLe Taillan
    • Vie religieuseLe Taillan
    • Vie quotidienneLe Taillan
    • SantéLe Taillan
    • Loisirs et cultureLe Taillan
    • Etablissements scolairesLe Taillan
    • Personnalités de la communeLe Taillan
    • LangueLe Taillan
  • PatrimoineLe Taillan
    • BâtiLe Taillan
    • Parcs et cheminementsLe Taillan
    • MuséesLe Taillan
    • PLULe Taillan
  • GénéalogieLe Taillan
    • FamillesLe Taillan
    • Etat-civilLe Taillan
    • Actes notariésLe Taillan
  • Documentation Le Taillan
    • BibliographieLe Taillan

Recherche


 

Mentions légales

 

 

Lapin Rouge Agence de communication